EDUCATION NATIONALE
« Il n’y a pas de situations désespérés, il n’y a que des gens qui désespèrent de la situation »
- « Il n’y a pas de situations désespérés, il n’y a que des gens qui désespèrent de la situation »
" L'Education c'est la famille qui la donne; l'Instruction c'est l'Etat qui la doit"
- Il faut revenir à un enseignement pointu. "L'HISTOIRE DES ARTS". Il ne faut plus laisser s'installer dans toutes les classes le nivellement par le bas. Bien au contraire, il faut que tous les élèves connaissent l'histoire française, les coutumes et us anciens, de la préhistoire jusqu'à notre époque. Il ne faut pas que les enseignants s'installent dans la facilité de l’enseignement pour ne pas contrarier les élèves, ou se placer dans la mode du moment, qui est de tout rejeter quand on parle de l'Art, de l'histoire, de la géographie, des mathématiques, (physiques et chimies), de notre civilisation en général. CELA GENE QUI ? Il faut relever le niveau de chaque classe, et les enseignants devront s'y atteler .
- Education nationale : étudiants universitaires : « Il faut redonner l'espoir aux jeunes ; ils ne sont pas aux commandes de leur vie. Ils sont frustrés de ne pas pouvoir faire leurs preuves, montrer ce qu’ils sont C’est une génération désillusionnée : une allocation de 4000€ sera attribuée à l'étudiant à l'issue de son cursus universitaire (avec un niveau d'études minimum à atteindre et correspondant à une licence validée).
- En cas de poursuite des études, une allocation universitaire supplémentaire de 2000€ sera octroyée à l'étudiant (toujours sous réserve de validation du diplôme préparé). Un seul redoublement sera toléré pendant toute la durée du cursus. En cas d’abandon d’études injustifié, l’allocation perçue sera alors remboursée intégralement par l’étudiant. Ces allocations seront obtenus, si et seulement si, les examens et diplômes obtenus seront frappés de la mention "bien, et très bien"
- Tout lycéen ayant obtenu son baccalauréat avec une mention "Très bien" pourra prétendre à une allocation de rentrée à l'université de 3000€. Celui qui aura obtenu son baccalauréat avec une mention "assez bien" recevra 1000€. Celui qui aura obtenu son baccalauréat avec une mention" bien" recevra 500€.
- Audit sur l’enseignement primaire, secondaire et universitaire, (en vue de faire des économies obligatoires et substantielles sur toute la chaine de l’éducation), sur les bonnes orientations pour relever le défi d’une école, aujourd’hui inadaptée au monde moderne et mal classée, et coûteuse pour le pays. Le pourcentage de réussite du BAC doit revenir à un chiffre plus raisonnable : c’est-à-dire 65%, et non à 85% voire plus, cela ne représente plus rien, ainsi que les examens de niveaux inférieurs.
- Revaloriser les matières techniques dans les lycées et faciliter l’orientation des collégiens et des lycéens en fin de cycle secondaire vers ces métiers.
- Revoir le temps de travail sur toute la chaîne de l’Education Nationale. Il sera institué des heures de classes du CE1 jusqu'en terminal le samedi matin pour les élèves ayant eu un comportement indiscipliné dans la semaine écoulée tant vis à vis des enseignants que de leurs camarades :" 2 heures d'instruction civique et de moral, 1 heure de français, 1 heure d'histoire". Les absences injustifiées, non légitime auront pour conséquence la suppression de toutes les allocations familiales et sociales d'un mois pour la famille et si récidive un an. Il en sera de même, lorsque les parents auront eu également un comportement anormal envers les enseignants, et manquant à l'évidence de l'autorité vis à vis de leur enfant.
- Généraliser le sport à l’école, de la primaire jusqu’au secondaire (fin de cycle). Un recrutement d’éducateurs physiques sera alors nécessaire pour assurer quasiment toutes les après-midi cette discipline, du lundi au vendredi, de 15 heures à 17 heures, hormis le mercredi après-midi, réservé aux disciplines extrascolaires.
- L’Etude, dans les collèges et lycées, sera obligatoire jusqu’à 18 heures sous la surveillance des enseignants. Il en va de l’intérêt de la Nation.
- Recourir à l’élitisme, à l’excellence, par le sport, et inculquer le RESPECT, et l’esprit de compétition.
- Lutter contre l’illettrisme (savoir lire, écrire, calculer, comprendre un texte, l'histoire, la géographie, l'instruction civique) reprendre ce qui se faisait d’antan selon la méthode qui a déjà fait ses preuves.
- Obligation de reconnaissance de la langue Française comme langue unique sur le territoire métropolitain et DOM-TOM.
- SYMBOLE D’EGALITE : uniformiser la tenue des enfants scolarisés de la primaire jusqu’à la terminale. Les tenues (blouses, costumes etc.…) seront fabriquées par les détenus(es) en maison d’arrêt sur commandes, et vendues aux parents via les établissements scolaires. Le prix devra être très attractif.
- Réinstaurer l’autorité des enseignants pendant et en dehors des cours et notamment vis-à-vis des parents. Ces derniers se verront pénalement et civilement responsables des agissements de leur enfant à l’intérieur comme à l’extérieur de l’enceinte scolaire. Pour les majeurs, tout comportement infractionnel à l’intérieur de l’enceinte soit vis-à-vis des enseignants ou des élèves sera sanctionné sévèrement.
- Restaurer l'autorité et une discipline scolaire seront une priorité. Les associations de parents d'élèves ne servent pas à grand chose, sinon de créer le désordre . Elles seront toutes dissoutent. Un échange direct entre parents et professeurs sera de mise si le comportement de l'élève n'est pas conforme à la réglementation de l'établissement .
- Les monastères, les édifices religieux, les monuments historiques fermés, les prisons abandonnées, feront l’objet de restructuration et de rénovation aux fins d’accueillir en internat et externat une école d’excellence. Un uniforme sera créé pour chaque école. (Une approche similaire sera faite avec l’école d’excellence de CLUNY, de la Légion d’Honneur etc.).
- Se préoccuper de l'enfance maltraitée avec obligation de signalement de la part du médecin scolaire ou autre intervenant, auprès du procureur de la République sur tout état de santé "anormal", suspicion de maltraitance...etc constaté lors d'un examen sur un enfant afin qu'une enquête soit diligentée sans désemparer par les services de Gendarmerie ou de Police.